mardi 27 novembre 2012

Les trois correspondances. Et...merde



From: Lui@email.fr ******************* MAIL 1  *************************
To: Elle@email.frSubject: et...merde
Date: Wed, 1 Jul 2009 23:56:13 +0200

Je relis...nous relie...
et ta dernière phrase: "pourquoi m'es-tu nécessaire à ce point...."

Un début de réponse, peut-être...

Parce que tu es ma soumise, ma chienne, ma putain privative....et en ce sens, je t'ai prise comme telle, accepté ainsi, voulu que tu le sois, sans regret ni remord....juste acceptée.

Et à ce titre, et sans expérience...tu as franchi le pas, et moi aussi.

Alors tu ne peux plus nier le fait que tu es ma pâte à modeler, que je vais te malaxer, comme je le fais de tes seins,... te fouiller dans tous les sens, comme je le fais de ton vagin,....  jusqu'à ce que je sorte de toi le jus dont je me lèche les doigts...
Je vais te mettre à quatre pattes, jusqu'à te faire chier, accroupie dans tes draps de soie,... te prendre par la nuque et te fourrer la tête dans ta merde,... grimper sur ce lit et t'encadrer, debout, les pieds bien campés autour de tes hanches, me branlant sur ta poitrine gonflée, ne te laissant apercevoir que la base de mes couilles,... te tirer par les cheveux,... prendre le manche de la ventouse des chiottes et te la carrer dans le cul....bien profond....te ramoner le rectum jusqu'à ce que ton sphincter n'effleure plus que le bois du manche,... te faire dégorger ta diarrhée, et que tu nettoies ton visage souillé, les doigts dans la bouche, et que tu sois convaincue que c'est bon. Alors je me branlerai sur tes selles, donnant du goût aux parties solides, te retournant par un doigt dans ton cul ouvert et spasmé, vautré dans tes matières que tu sens nauséabondes...et m'en délectant les narines.
Enfin, tu sauras que plus brulantes que les gouttes de mon foutre, mes larmes laisseront des traces plus profondes...alors que d'une dernière main au cul, magistrale, je te propulserai vers une voie dont tu seras maitresse, et sur laquelle je ne pourrai te suivre, toi libre, et moi heureux qu'il me reste l'odeur de ce dernier doigt que je t'ai fourré, ma soumise, ma chienne, ma putain privative...
Et par amour...


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