lundi 27 juillet 2015

Débordement...

Coup de fil de 19h, pour me demander si j'étais libre ce soir "envie de me poser".
Pas de problème, mais j'aurais carrément pu rester y dormir, j'y étais invitée hier soir par ce gentil boulet, du genre qui ne sait pas s'y prendre, qui parle trop, à tort et à travers, mais prend les remarques, les vannes, avec un sourire rafraichissant et qui s'avère, à l'horizontale, être un élève appliqué et plutôt compétent. Et comme nous sommes presque voisins, qu'il s'y rend régulièrement, nous avions convenu qu'il m'enverrais un sms pour savoir si j'étais dispo pour l'accompagner.
Ce soir, elle est fauchée, elle a les dix euros de l'entrée, mais pas les dix du repas. Ce sera donc tarif spécial, 20€ pour nous deux, entrée et repas..
A peine rentrée, elle tombe sur nombre de ses connaissances qui feront qu'elle attendra quasi la fermeture pour profiter pleinement de la piscine, du sauna et du jacuzzi afin d'être tranquille et ne pas subir la chasse des clients de clubs qui pensent que la serveuse est une pute en gros, et des mecs seuls la teub à la main et la main lourde sur les chairs qui dépassent...
Moi, première surprise: mon voisin le psychopathe, celui qui me courre après depuis des mois, qui a fait mettre un PV à un de mes plans cul qui était venu, dont il avait repéré que ce n'était pas le chatbus et qui au lieu de venir sonner à préféré appeler les flic pour verbaliser, celui que j'ai aperçu la première fois debout sur son toit avec une pelle, celui qui bave presque lorsqu'il me croise dans la rue, me propose des siestes crapuleuses ou de venir me masser en crise de sciatique, celui que j'aurais préféré ne pas croiser, quoi... Est là.
Pseudo détaché, pseudo collant. Mais voilà, deuxième tête connue: mon gentil boulet. Il va me sauver pour le coup.  Le genre de type avec qui il n'y aura jamais rien de sérieux, mais qui est parfait en chauffeur, et pour le coup, en faux partenaire. Il a bien un autre talent (ça compense, heureusement!!) dont j'ai eu un aperçu hier, et confirmation ce soir...
Habillées, nous dînons entourées de gens en serviette ou en civil, les corps sont dénudés, peuvent se frôler, sans qu'il y ai de malentendus, je me dis que finalement d'autres personnes ne mettent pas leur pudeur dans leur corps, ne l'affichent pas sexualisé, paradoxalement.
Le psychopathe en suiveur, le gentil boulet en accompagnateur, promenades entre le jacuzzi, le hammam, passage par le sauna, sous les douches... Quelques caresses de mon chaperon à qui j'avais tenté hier de faire comprendre que j'aurais bien pris une fessée, mais qui n'a pas osé, et que j'ai essayé de décoincer en lui montrant une ou deux photos sur mon téléphone de mon corps passé au fouet, pour lui faire prendre conscience que ce ne sont pas deux trois claques au cul qui vont me satisfaire...
Dans le jacuzzi nous discutons, nous chambrons entre un type qui essaye de se rapprocher de lui et vers qui je le pousse alors qu'il plaisante en me menaçant de me laisser aux mains du psychopathe... J'aime pouvoir dire des conneries, en rire, le vanner, alors que ses mains me saisissent fermement en alternance avec des passages plus légers. Quelques instants plus tôt dans le sauna, il a passé un moment à m'embrasser, caresser mes seins, commençant même à les malaxer alors que je lui ai dit de se méfier, en pressant un pour le faire couler, le faisant gicler dans sa bouche qu'il a d'abord reculé avant d'y revenir et lui-même le presser et le sucer avidement. Là, calés contre la buse, il fait courir ses mains sur mon corps, effleurant, saisissant. Me décolle du dossier et me fait flotter sur lui qui commence à bander. Je m'échappe un peu plus loin, reviens lui dire à l'oreille que je voudrais une fessée, et m'agenouillant sur la plus haute marche du jacuzzi, tournant le dos au bassin, fesses à fleur d'eau et jambes immergées, tends la croupe... il commence par une petite claque qui sonne bien, alterne de sa pogne qui me saisit la fesse fermement, nouvelle claque. Bras reposés sur le rebord, cou détendu et fesses hautes, j'attends que cela continue. Le rythme est lent, les coups timides. Il y a deux hommes assis à proximité dont un qui sourit et à qui cela fait de charmantes rides d'expression. Je referme les yeux, profitant de chaque impact, ne sachant pas si il y en aura un suivant, ils sont assez faibles et je ne les sens pas convaincus.
Quoique...
Je ne sais pas si ce sont les sourires de nos deux baigneurs qui l'ont encouragé, mais la frappe s'affermit depuis quelques minutes. Et puis là, je sens que la façon de faire n'est plus la même sur ma fesse gauche. J'interromps un instant mon début de planage et me tourne de ce côté et pense que les cheveux de mon gentil boulet on poussé super vite, ah ben non, ce n'est plus lui. Je me retourne, il est derrière et affiche un grand sourire. Je pense qu'il n'est pas convaincu par l'exercice, mais prend plaisir à regarder. Etrange, sur ma fesse droite c'est une main bien plus précise dans le dosage de la claque, bien plus ferme. Ah non, ce n'est pas si étrange... En regardant donc de ce côté, les pattes d'oies spectatrices rieuses du début de la fessée ont pris part à la session. J'allonge de nouveau mes bras devant moi, cambre le dos, offre mes fesses et ris à un moment de me rendre compte que mes deux fesseurs se prennent pour des percussionnistes manchots partageant la même peau, chacun une main pour le même instrument, et improvisent même un dialogue. Je me retourne et dit assez haut, pour être entendue par mes fesseurs par dessus le gargouillis du skimmer que si c'est juste pour un concours d'éclaboussures, ils ne sont pas obligés de se servir de mon cul. Schklak à droite, et main posée où a été l'impact alors que les yeux riants s'approchent et me demandent presque catastrophés si "ça va???" et auquel je réponds "oui, enfin!!!!".
Encore quelques minutes, des dizaines? Je ne sais pas. Le rythme est plus soutenu, et je pense que j'ai à faire à un pratiquant pour le globe de droite. Qui pousse le vice à légèrement m'écarter les fesses pour appliquer de petites claques rapides juste à l'aube de la raie culière. Bien joué...
Mais voilà, je sens un de mes seins saisi par le téton, et agité comme un mec se branle le bout de la bite sans y penser. Me retournant, je lance un "je ne suis pas une chèvre" à mes deux comparses, n'ayant pas analysé duquel il s'agissait. Je retourne à mon envol et profites bien plus de ce que j'avais réclamé, serrant tout de même les cuisses car il est apparemment impossible de fesser un cul sans vouloir foutre les doigts dans la chatte adjacente, mais ces hommes ne sont pas cons et n'insistent pas profitant apparemment de cette occasion de maltraiter un cul d'une manière qui ne doit pas leur être offerte souvent, sans vouloir se transformer en spéléologues...
Mes fesses chauffent gentiment, ils ont trouvé leur rythme, c'est franchement agréable.
Et puis là, devant moi, accroupi et les lèvres contre mon oreille, un type se met à me parler. Un type, parce qu'en ouvrant les yeux, j'ai ses couilles qui pendent de sa serviette sous les yeux, à 60cm. Elles auraient été celles d'un autre, je les auraient malaxées, sucées comme je sais qu'il lui plait, déléguant le claquage de mon cul à d'autres mains mais gardant la consommation de son seul foutre...
Le temps de rappeler mes neurones à l'ordre et pas aux sensations, je comprends vaguement que "à te voir tout à l'heure, j'aurais jamais imaginé que tu étais comme ça".. Mais comme quoi ducon, est qu'est ce que tu viens m'emmerder, là?  Et le voilà qui m'ordonne de l'embrasser. Mais oh, t'as vu la vierge? Je suis en train de décoller, et toi, sale con, tu viens m'intimer, puis me demander, et enfin me supplier de t'embrasser en me bavant dans l'oreille? Va chier. "Non, dégages". Je garde les yeux ouverts le temps de m'assurer qu'il s'est bien cassé, déjà, je n'ai plus son haleine sur la peau, et enfin il se relève et part. Je referme les yeux, les claques n'ont pas cessé, vraiment très agréable. Mais voilà, ce connard à explosé ma bulle. Une minute ou deux, puis je me redresse. Les deux hommes qui m'ont claqué le cul affichent de superbes sourires.
Avec un sourcil en accent circonflexe et la commissure relevée d'un demi sourire, je leur lance un "merci messieurs" auquel le regard pétillant répond d'un "mais c'est pour moi que ça a été un plaisir, sincèrement, merci".
J'émerge doucement, me rend compte alors qu'il y a quatre ou cinq personnes qui regardaient.
Je retourne vers mon gentil boulet pour le vanner en lui disant que c'est bien la peine de faire la malin pour déléguer après, mais que bon, si il ne se sentait pas de le faire, il avait eu le choix judicieux. Apparemment, je ne sais si c'est le spectacle ou la "fierté" que ce soit vers lui que je retourne, mais le garçon est content.
Nous nous frottons, nous frôlons, il bande entre mes fesses, me presse des doigts joint le clito, y écrase de la main son gland. "On va peut être aller ailleurs..." Je m'extrait donc du bain bouillonnant et me dirige vers le hammam. J'y prends place dans l'alcôve du haut, mon gentil boulet (mais appelons-le canard) reste sur la marche inférieure, et m'écarte les cuisses pour y glisser non pas sa queue empaquetée, mais son visage.
La moiteur de l'air, l'irradiation de mes fesses maltraitées, mon début de vol endorphinesque et je m'abandonne complètement à sa langue dont les mouvements n'ont rien de mécanique, à ses lèvres qui me happent le clito, ses dents qui le mordillent ainsi que mes lèvres gonflées.
Il s'applique mais sans mécanique, j'ai l'impression qu'il adore me bouffer la chatte, il n'y a rien de laborieux dans le cuni qu'il me prodigue et dure, dure...
J'ai le ventre qui se creuse, les cuisses qui tremblent par moment. Il me lèche, me suce, me tête. C'est putain de bon... A un moment, il relève la tête et partant du périnée m'écarte les petites lèvres de sa langue large pour arriver sur mon clitoris. Je pose alors une main sur sa joue, et de l'autre, de deux doigts dégage complètement le capuchon et précisant ainsi son champ d'action sur lequel il retourne avidement.
"Oh bordeeeeeeeeeeeel".....
Je reconnais une sensation que je n'ai encore jamais rencontré dans cette situation mais bien plus souvent d'un branlage frénétique, je sens que je ne contrôle plus rien, que je jouis, que je dégouline, coule, gicle...
Sa bouche ne quitte pas mon sexe de la bruine aux cascades, alors que je décroche complètement, que je prends  un pied terrible parasité une infime seconde par la pensée fugace que pour dégouliner comme ça ce n'est pas possible, je dois être en train de pisser aussi... J'entends sa respiration, je sens le liquide sortir de ma vulve, couler abondamment alors que sa langue produit des schplock schplock inondés...
Rhaaaaaaaaaaaaa....
Putain de jouissance aussi humide que cette partie du club, moite et dégoulinante, de ce lâchage complet en flaque qui a dégouliné le long de la mosaïque moirée...
Remerciant mon canard, j'en profite pour flairer sa joue. Non, je n'ai pas pissé, je me suis bien vidée à longs jets sur son visage, spasmée de plaisir et les jambes tremblantes, et il a continué jusqu'à ce que je sois vide et resserre mes cuisses sur sa tête lorsque je n'en pouvais plus.
Et mon gentil boulet à juste dire "génial", "j'adore", sans même chercher à se faire branler, sucer, content de l' apparemment agréable surprise de boire la fontaine à sa source.

Débordée je n'ai rien retenu, débordante j'ai dégouliné jusqu'à l'inondation...

Flaques résiduelles:
-l'imbécile qui m'a éclaté la bulle semble être ce type qui m'est antipathique depuis la première fois que je l'ai vu et de mes réparties cinglantes à ses phrases stupides ne trouve qu'à m'"adorer".
-de la première tape sonore qu'elle a entendu de la piscine ma cop a pensé que c'était violent comme claquage de couilles pendant une baise, et que finalement, au troisième ou quatrième impact, elle s'est dit de "ah non, ce n'est pas ça.. ça, c'est miaoum qui a trouvé quelqu'un pour jouer à sa façon"
-des "quelques" personnes que j'ai aperçu à un moment, il semblerait en fait que presque tous les clients du clubs soient passés et qu'une bonne vingtaine se soit rincé l’œil durant toute la session, valant à ma cops de se retrouver bloquée dans le sauna où elle cuisait car impossible d'en ouvrir la porte derrière les gens agglutinés et lui tournant le dos.
-sous la douche post hammam et jouissance fontaine, un homme de près de 60 ans me demande comme je me sens, ce à quoi je réponds que je suis vidée. et là, il me dit "oui, enfin, au sens figuré, parce que vous, au sens propre, vous ne pouvez pas"... Trop fatiguée pour une explication..
-en allant me rhabiller, agréable surprise de voir que mon fesseur de droite est une connaissance de ma cop, qu'elle a son numéro, qu'il présente fort bien, et me dit qu'il a pris beaucoup de plaisir à s’occuper de mon cul.
-Lorsque j'avoue que c'était franchement agréable je ne peux m'empècher de compléter en disant que cela était aussi frustrant car les fesses c'est bien mais le dos, les morsures de.. d'une ceinture par exemple, je suis en manque, et que j'entends cet homme dont la voix sourit dire que "j'ai toujours ma ceinture sur moi" j'espère le recroiser bientôt...

 

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